On l’appelle aussi la soupe orange, celle qui accompagne les fêtes d’Halloween que fêtent surtout les Anglosaxons.

La légende de Jack’o lantern
Jack était un vieil homme radin, méchant autant qu’un misérable ivrogne. Mais il était malin. C’est ainsi attablé devant sa pinte que le trouva le diable. Il lui proposa de lui acheter son âme. Rusé, Jack lui proposa de partager un verre avec lui. Et comme le diable se changeait en monnaie, quand arriva le moment de payer, il le fourra dans sa bourse. La bourse possédait une serrure en forme de croix qui empêchait le diable de s’échapper. Alors il parlementa avec Jack à qui il promit de le laisser tranquille et de ne jamais lui ouvrir son Enfer. Jack le relâcha.
Jack rendit son âme méchante et fut chassé du Paradis où il s’était présenté. Penaud, il frappa à la porte de l’Enfer ou le diable l’accueillit en ricanant et s’empressa de lui rappeler ses conditions. Toutefois, il le laissa entrer mais ne consentit à le laisser errer dans la nuit éternelle qu’équipé d’un navet creusé dans lequel rougeoyait une braise. Avec le temps, le navet devint citrouille.

La fête d’Halloween prend sa source dans cette légende. Elle a été associée à l’ancienne fête celtique de Samain.

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